Il est possible de se déplacer en polluant moins l’air, en privilégiant :
- Les transports en commun – train, métro, bus – le vélo et la marche à pied. Ils n’émettent peu voire pas de polluants dans l’air ambiant, contrairement aux véhicules individuels et à l’avion.
30 MIN DE VÉLO OU DE MARCHE QUOTIDIENNE = 30 % EN MOINS DE RISQUE DE MALADIES (CARDIOVASCULAIRE, DIABÈTE…)
- Les véhicules électriques plutôt que les véhicules thermiques. Les moteurs des véhicules électriques n’émettent aucun polluant de l’air gazeux contrairement à leurs homologues thermiques, et ne favorisent donc pas non plus la création d’autres polluants dans l’air comme l’ozone de basse altitude ou les particules secondaires. Ils émettent moins de particules fines : seules subsistent les particules d’abrasion des freins et des pneus sur la route. Ils sont donc bien plus vertueux que les véhicules thermiques du point de vue de la pollution de l’air.
- Les véhicules plus petits et plus légers : ils consomment moins d’énergie et émettent moins de polluants de l’air. En cas d’acquisition d’un véhicule, on privilégie le modèle le plus récent possible, adapté à
son usage le plus courant, le mieux classé sur l’étiquette énergie/CO2. Pour un véhicule d’occasion, on privilégie l’étiquette Crit’air verte, de 1 ou 2.
- Le covoiturage : pour une même quantité de polluants de l’air, c’est un moyen simple de transporter plus de personnes.
- L'écoconduite : moins rapide, plus souple et donc plus économe en carburant.
Toutes ces solutions ont aussi l’avantage de diminuer également les émissions de gaz à effet de serre, et donc de lutter conjointement contre le réchauffement climatique.